Littérature : Edmond K. Kouassi dédicace "La Rose de Rose" à l'Université Virtuelle

"La Rose de Rose", le
dernier roman sentimentalo-pédagogique de l’écrivain Edmond K. Kouassi, a été
dédicacé ce mercredi 9 juillet 2024 à l'Université Virtuelle de Côte d'Ivoire
(UVCI). Cette œuvre, le deuxième de l’écrivain, est un savant mélange, une belle
et parfaite fusion de fiction et de vécu, pour produire un délice livresque.
Ecrivain engagé et passionné de
littérature, Edmond Kouassi, "L'Amoureux Malheureux", use de son
savoir-faire et de son expérience, pour offrir à ses lecteurs une œuvre pédagogique
relative aux questions sentimentales, tout en dénonçant certaines injustices de
notre société.
"La Rose de Rose", cette
œuvre sentimentalo-pédagogique, est un condensé d’enseignements sur la vie de
famille et sur les stratégies sentimentales. C’est aussi une sorte de thérapie,
des solutions pour surmonter les obstacles de l'existence, pour aboutissant à
l'accomplissement et à la délivrance intérieure.
Cette fiction-réalité, est un appel
à l’attention des passionnés. Elle met en lumière certaines réalités de notre
société et lève un coin de voile sur l’univers des sentiments, de l'amour. Un
univers parfois fait de violences conjugales et de stéréotypes relationnels et
amoureuses. Ce roman est construit autour de jalousie, d'hypocrisie, de
polygynie et de ses inconvénients. Une dose de méchanceté, d’égoïsme et de
mesquinerie des cœurs, s’invite quelque fois dans le sujet.
Selon l'auteur, ce roman peut aussi
servir de support éducatif. A travers cette œuvre, l’écrivain Edmond K. Kouassi
vient offrir une rose à toutes les femmes qui sont résistantes, fortes,
intrépides et qui sont des leaders.
Le critique d’art, spécialiste du
langage et du roman français, Dr Alain Ehoussou, Assistant à l'Université
Alassane Ouattara de Bouaké, dira que « l’œuvre se veut le laboratoire d’une
hétérogénéité langagière soutenue à travers l’usage particularisé du
vocabulaire, la déconstruction et la reconstruction des formes et structures
expressives, l’adoption d’une écriture aux allures génériques irrégulières,
brouillées. Et pour cause, les désarticulations que sa plume restitue ne
sauraient se faire par un style policé ».
Et de faire la promesse que « cette
œuvre qui s’ouvre sur la parenthèse de l’esthétique sera le théâtre de
déploiement de l’art, du grand art ! ».
Selon le Professeur Koné Tiemoman,
Président de l'Université Virtuelle de Côte d'Ivoire (UVCI), il est nécessaire
que cette dernière se décline sous différents aspects pour une harmonisation
optimale avec l'essor du numérique. « Un roman numérique conserve la même qualité
qu'un livre traditionnel. Tout en étant plus abordable au niveau du coût, dans
le format numérique, pour le téléchargement », a-t-il indiqué.
Il a exprimé son désir de voir le
roman adapté sous la forme d'un métaverse, qui est un monde virtuel dans lequel
les gens peuvent interagir les uns avec les autres, via des avatars.
Le Président de l’Université a
offert un exemplaire à toutes les femmes membres de son établissement, ainsi
qu'aux hommes présents lors de cet événement.
A cette dédicace, le Président-Fondateur
de la Ligue de la Nouvelle Espérance pour la Côte d'Ivoire (LINECI), le
Professeur Simplice Yode Dion, a apporté son soutien à l'écrivain, en lui
prodiguant des conseils avisés.
« Ne perdez pas courage.
L'élaboration d'une œuvre littéraire est un défi ardu. Mais, c'est avec une
détermination inébranlable que vous parviendrez à mener votre projet à bien.
Les écrivains renommés ont tous débuté humblement et ont persévéré pour
récolter les fruits de leur travail. Votre espérance demeure un socle imprenable
», a-t-il encouragé.
Le Dr Kouakou Roland Kouassi,
Enseignant-Chercheur et Maître de Conférences en Grammaire et Linguistique du
français à l'université Alassane Ouattara de Bouaké, a conclu en ces termes : «
Votre roman mérite d'être considéré comme un support d'étude scientifique pour
nos étudiants en Lettres modernes, tant la qualité du style et de la langue
suscite l'émerveillement, tout comme les thématiques qu'il aborde ».
Ivoirinter avec Sercom