Dans une note d’information transmise à APA et rendant compte de ce sommet tenu la semaine dernière au Kenya, la ministre Euphrasie Kouassi Yao a souligné « les nombreux efforts consentis pour une participation équitable de tous les ivoiriens au processus de développement ».

A ce propos, elle a cité les « réformes réalisées permettent aujourd’hui aux femmes et aux filles d’accéder à des corps de métiers longtemps demeuré la chasse gardée des hommes et des garçons, faisant allusion à l’entrée des filles à l’Ecole militaire préparatoire technique (EMPT) et à la gendarmerie ».

La ministre aussi fait cas de l’expérience du Compendium des compétences féminines dont elle reste l’initiatrice et une fervente promotrice. Auparavant, Mme Yao a évoqué le Plan national de développement (PND), une « stratégie de développement claire et cohérente mise en place par le chef de l’Etat, Alassane Ouattara dès sa prise de fonction en 2011, avec pour objectif majeur de conduire la Côte d’Ivoire à l’émergence à l’horizon 2020 ».

Selon elle, la mise en œuvre du PND 2012-2015, a permis à la Côte d’Ivoire de rejoindre le groupe de tête des pays à forte croissance dans le monde avec un taux moyen annuel de croissance d’environ 9%.

La Côte d’Ivoire a pu « renforcer ses infrastructures socioéconomiques et créer des millions d’emplois en moins de cinq années pour un mieux-être des ivoiriens grâce à la mise en œuvre du PND », a-t-elle ajouté.

LS/APA