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Cérémonie de lancement du prix du meilleur journaliste pour la lutte contre l’apatridie

Ivoirinter24 06 Nov 2017 - 06H39
© Ivoirinter24.net par Ciss debank

L’auditorium du ministère des Affaires étrangères a servi de cadre à la cérémonie de lancement du prix du meilleur journaliste pour la lutte contre l’apatridie. C’était le vendredi 03 novembre 2017 au Plateau, Abidjan, inscrit  sous le thème essentiel « Quel rôle du journaliste dans la lutte contre l’apatridie ? »

 

Selon le représentant de Moussa Traoré,  président de l’Union Nationale des Journaliste de Côte d’Ivoire (UNJCI) «  un apatride se définit comme toute personne qu’aucun état ne reconnait comme étant son ressortissant par cotation », a-t-il signifié. Tout en ajoutant que  « l’apatridie constitue un fléau pour les individus concernés ». Aussi, au nom de l’UNJCI  il a salué les journalistes qui par leurs différentes productions se sont démarqués dans la lutte contre ce phénomène et a soutenu l’organisation de ce prix qui vise à accompagner le gouvernement dans sa lutte contre  l’éradication de l’apatridie.

 

A son tour Jean-Claude BAYALA le représentant du ministère de la Communication de la Poste et de l’Economie Numérique, est venu apporter son soutien à ce prix qui conduira les journalistes au travail bien fait en la matière et pour cela il faut avoir été bien formé. Tout  en saluant au nom du ministère de tutelle les efforts  qu’ont consentis le HCR et le SAARA  dans cette noble lutte, il a incité les journalistes à prendre massivement part à ce prix pour une lutte plus efficace contre ce fléau.

 

Pour Mohamed TOURE, le représentant résidant du HCR en Côte d’ Ivoire, par la voix de son envoyé Sébastien S. « Plusieurs millions de personnes à travers le monde ne jouissent pas de leurs droits et cela est lié à leur statut d’apatride et l’apatridie reste encore méconnue  de la société. Voilà pourquoi il est important d’attirer l’attention de tous sur ce phénomène afin qu’il ne demeure pas dans l’ombre », a-t-il expliqué. Aussi, pour améliorer la lutte contre l’apatridie, il faut s’imprégner de cet état de fait, selon son propos, « pour une lutte plus efficace il faut maitriser la notion de l’apatridie afin de donner un visage aux personnes sans visage », a-t-il clarifié.

 

Il a donc encourager toutes les initiatives mis en place par la presse représentée par le Réseau des Professionnels des Médias pour la lutte contre l’Apatridie (REPMA) afin de mettre fin à ce phénomène.

 

Pour ne pas être en reste, le REPMA qui est à la base de l’organisation du « lancement de ce prix  du meilleur journaliste pour la lutte contre l’apatridie », par la voix de son président, hervé GOBOU  a présenté les objectifs et les enjeux des actions menées par les journalistes de son réseau, tout en remerciant toutes les institutions qui les soutiennent dans leur projet.  

Il faut souligner que pour prendre part ce concours, il y a deux conditions alternatives à remplir : être muni d’une carte de journaliste professionnel (CIJP)  ou d’une carte de  professionnel des médias.

 

Ciss Debank

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