Présumé séquestration: "Je n’ai pas été violenté ", soutient Gnagna Zadi
Pour lui, il est temps que les
dirigeants nationaux comprennent qu’il est mieux de perdre quelques jours dans
les discussions et gagner la paix pour plusieurs années.
Présumé séquestration: "Je
n’ai pas été violenté ", soutient Gnagna Zadi
Le président de la plateforme
nationale des organisations professionnelles du secteur public de Côte
d’Ivoire, Théodore Gnagna Zadi, a formellement démenti, le 24 janvier 2017, les
« folles rumeurs » faisant état de ce que, dans la nuit du dimanche 22 janvier,
il a été séquestré et brimé à la primature. « Je n’ai pas été violenté. Je suis
là et en bonne santé », a tenu à rétablir le leader syndical devant des hommes
de médias au siège de sa structure à Adjamé.
Il a ajouté que le gouvernement
ivoirien ne l’a jamais menacé, depuis le déclenchement du mouvement de grève
qui, depuis deux semaines, paralyse l’administration publique.
Gnagna Zadi, qui dit assumer sa
déclaration sur les antennes de la télévision nationale dans la nuit de
dimanche dernier, souhaite, par ailleurs, fermer cette parenthèse à l’origine
d’incompréhensions entre ses camarades de lutte et lui. Pour lui, il est temps
que les dirigeants nationaux comprennent qu’il est mieux de perdre quelques
jours dans les discussions et gagner la paix pour plusieurs années. Suite sur fratmat.org