« Concernant les baux de la Police nationale, les difficultés de plusieurs années ne sont pas faciles à évacuer. Tous les domaines ont été désorganisés. La police a payé un lourd tribut au cours de la période douloureuse.

Les baux n’étaient pas payés. Les policiers chassés de leur maison. Difficile pour les propriétaires de logements d’accepter des policiers dans leurs maisons en location.  Aujourd’hui, la situation a beaucoup évolué.

Un service spécifique a été créé pour les baux administratifs. Il fonctionne bien. Les baux sont régulièrement payés chaque année. Il n’y a pas d’arriérés concernant les baux de 2017 et 2018. Les arriérés  relevant des années antérieures sont en train d’être épongés progressivement.

Cette année, ce sont 2,5 milliards de FCfa que l’Etat a dégagés pour évacuer les dettes. De sorte à finir définitivement avec les arriérés des baux. Chaque année, nous faisons en sorte que le policier ne soit plus inquiété à ce niveau. Un  propriétaire peut réclamer son logement. Là aussi des mesures ont été prises pour régler la question ».

Rédaction Fratmat