Un atelier de renforcement des capacités des parties prenantes ivoiriennes au processus l’APV-FLEGT (Accords de Partenariat Volontaire-Application des Réglementations Forestières, Gouvernance et Echanges Commerciaux) en matière de communication, négociation et représentation s’est ouvert le jeudi 29 novembre 2017 à l’Hôtel Manhattan Suite, Abidjan. Ces trois jours de travaux s’inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre  du projet de « Renforcement des capacités des acteurs non étatiques dans les processus l’APV-FLEGT et REDD+ en Afrique de l’Ouest » organisé par le Groupe National de Travail sur la Gestion durable des forêts et la certification (GNTCI),  financé par l’Union Européenne et sous la supervision de Tropenbos International.

Cet atelier vise  à améliorer les connaissances des parties prenantes en occurrence, les membres du Comité Technique de Négociation (CTN) dans le cadre des négociations de l’accord partenariat volontaire a indiqué pour sa part Soro Doplé Claude, négociateur en chef de l’Accord Projet Volontaire entre la Côte d’Ivoire et l’Union Européenne. L’APV-FLEGT est important en matière de gouvernance forestière parce qu’il fait la promotion de bon outils de gestion en ce qui concerne « la transparence et la légalité du bois », a-t-il souligné. Tout en  d’ajoutant que l’objectif de l’APV est aussi de contribuer à faire en sorte que tout le bois exploité respect les textes qui sont à la base de la gestion forestière ivoirienne.

Pour Yao Kokoré Beibro, coordonnateur du projet, il apparaît très important que les acteurs non étatiques puissent avoir le niveau suffisant, l’argumentation suffisante afin d’aider l’Etat à améliorer cette gouvernance et allé à la signature du processus APV-FLEGT.

Ciss Toum